ces frères et sœurs unis par le sang, désunis dans la vie


Partager le même sang ne signifie pas forcément bien s’entendre. Getty Images.

TÉMOIGNAGES – Chaque famille a son lot de tensions, de jalousie… Et les fratries n’y échappent pas. En pleine période de Noël, ils témoignent d’un climat parfois tellement hostile, qu’il pousse certains frères et sœurs à couper les ponts.


«’C’est dur à dire mais je ne l’aime pas’: ces frères et sœurs unis par le sang, désunis dans la vie» fait partie des articles préférés des abonnés du Figaro. Nous vous proposons de le découvrir ou de le relire.


«C’est peut-être dur à dire mais je n’aime pas Agathe. On croit que parce que c’est ma sœur, il faudrait forcément que je l’aime mais malheureusement non, ce n’est pas le cas», lance Léa, 25 ans. Elle ne connaît rien de la vie de sa sœur, cette dernière ne connaît rien de la sienne, et tout cela lui va très bien, souligne-t-elle.

En pleine période de Noël, l’heure est aux rassemblements familiaux. Et il n’aura échappé à personne que partager le même sang ne signifie pas forcément bien s’entendre. Certaines relations avec des membres de sa propre famille – y compris au cœur même des fratries – peuvent être conflictuelles voire réellement nocives. C’est ainsi que Léa, aînée d’une fratrie de quatre enfants, ne supporte pas sa plus jeune sœur, Agathe, âgée de 21 ans. Et ce, pour plusieurs…

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