le système universitaire en Suède et au Canada


Tous les jours, le club des correspondants décrit comment un même fait d’actualité s’illustre dans deux pays.

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En Suède comme dans la province du Québec, au Canada, il n'y a pas de baccalauréat. (JEAN-MARC QUINET / MAXPPP)

En France, les futurs bacheliers sont en plein processus Parcoursup. Les premières réponses sont tombées jeudi 1er juin. Plus de 500 000 candidats, sur les 917 000, ont reçu une réponse positive, a annoncé dimanche 4 juin le ministère de l’Education.

>> Inégalités, “fabrique à élite, “transparence” : Parcoursup suscite toujours un certain nombre de critiques

En Suède, à Stockholm, les universités sont gratuites mais sélectives. Tout se joue au contrôle continu car le bac a été supprimé pour les jeunes Suédois en 1968. Pour entrer à l’université, il faut avoir la moyenne partout. Si ce n’est pas le cas, dès le mois de juillet, les élèves peuvent s’inscrire au “komvux”, une école communale pour adultes, qui permet de rattraper la ou les matières râtées.

Pas de baccalauréat au Québec

Au Canada, le système universitaire est propre à chaque province. Au Québec par exemple, entre le collège et l’université, il y a le CEGEP. Au cours de ces deux années, les élèves choisissent une spécialité qui oriente ensuite leur formation. Il n’y a pas de bac mais des examens en continu qui permettent de se classer. C’est ce classement qui ouvre les portes à un grand nombre de programmes universitaires, comme médecine, droit, ingénierie, etc. 





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