Que vaut (vraiment) Indiana Jones et le Cadran de la destinée, le dernier opus de la saga culte?


Quinze ans après Indiana Jones et le Crâne de cristal, Harrison Ford clôt la saga avec un cinquième film particulièrement réussi. © Disney/Lucasfilms 2023

HORS COMPÉTITION – Présenté en avant-première au 76e Festival de Cannes, le film bondissant de James Mangold sort sur les écrans français le 28 juin.

Le cinquième et dernier volet des aventures d’Indiana Jones s’apparente à une incroyable machine à remonter dans le temps. Le réalisateur James Mangold n’a pas ménagé ses efforts, ni ses effets. Quinze ans après le quatrième volet mal-aimé Indiana Jones et le Crâne de cristal, déjà présenté à Cannes en 2008, Harrison Ford renfile donc son vieux blouson de cuir, ajuste son Stetson bosselé et fixe à son ceinturon son fameux fouet. On n’a qu’une seule peur : l’âge du capitaine. Fringant octogénaire, Harrison Ford a-t-il encore l’énergie pour jouer les bondissants «savanturiers» chers à Jules Verne?

Nous voilà pleinement rassurés car ce cinquième et dernier film, vif et enlevé, clôt de brillante manière une saga légendaire entamée il y a 42 ans, avec Les Aventuriers de l’arche perdue, que signaient le duo créatif George Lucas et Steven Spielberg. Dès l’introduction, en mettant en scène un «Indy» rajeuni numériquement qui se bat contre les nazis pilleurs d’antiquités à la fin de la Seconde…

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