VIDÉO – Agression du maire de Saint-Brevin : comment les élus sont-ils protégés ?



Depuis janvier, une nouvelle loi permet aux associations d’élus de se porter partie civile, c’est-à-dire, de porter plainte à la place des maires, parfois découragés par les procédures. Et en cas de condamnation, les sanctions pour les auteurs sont les mêmes que pour des violences contre un policier ou un pompier, jusqu’à cinq ans de prison et 75.000 euros d’amende, en cas de blessure grave. Une peine insuffisamment prononcée selon les élus. “Il n’y a même pas instruction, parce que la justice en France est débordée. C’est une question de moyens, d’implication”, déplore David Lisnard maire (LR) de Cannes et président de l’association des maires de France.

Le gouvernement doit lancer prochainement une cellule de lutte contre les violences envers les élus. 



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