VIDÉO – Vêtements d’occasion : les applications s’emparent du fléau de la contrefaçon


Depuis dix ans, les plateformes qui permettent d’acheter et de vendre des vêtements d’occasion ont conquis le marché français.
25 millions de personnes sont inscrites sur ces sites dédiés à la seconde main.
Mais avec un tel volume, l’application fait aussi face au problème de la contrefaçon.

Vinted, petite start-up lituanienne, est devenue le leader mondial de la seconde main. Quatre vingt millions d’utilisateurs dans le monde, dont 23 millions rien qu’en France. Pour certains d’entre eux, tout ne se passe pas toujours comme prévu. Il y a quelques mois, une cliente est tombée sur une contrefaçon avec une fausse facture. Les litiges, l’entreprise compte bien les éviter au maximum. 

Un service pour éviter les contrefaçons

Tout se passe à Hambourg, en Allemagne : en payant dix euros, n’importe quel acheteur peut envoyer le produit qu’il convoite, ici, pour s’assurer qu’il ne s’agit pas d’une contrefaçon. Un service possible pour n’importe quel vêtement ou accessoire de grande marque, à condition d’être vendu au minimum 100 euros, sur l’application.

Champion de la mode de seconde main, le site lituanien contrôle deux tiers du marché. Pour combien de temps encore ? Nombreuses sont les marques à se lancer sur ce créneau, comme Zara, Kiabi, Zalando ou encore La Redoute. Tous les vêtements sont inspectés et filtrés, seuls deux tiers d’entre eux seront proposés à la revente. Les vêtements sont ensuite repassés, photographiés puis mis en ligne.


La rédaction de TF1info | Reportage Roxane Sygula, Arnaud Ifergane, Baptiste Sisco



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