des médecins « dépités » et des paramédicaux qui « craquent »



« C’est un effet d’aubaine. La direction profite de la loi Rist pour fermer les urgences de Feurs. »

Jacques Devaux, médecin urgentiste à Feurs depuis 2005, se montre fataliste. Après l’annonce de la possible fermeture du service à partir du début avril, il dresse un état des lieux. Les équipes ont été informées mardi soir que trois lignes d’urgences seraient mises en place à Montbrison.

Sans que Feurs ne soit mentionné. D’où de très grosses inquiétudes sur le devenir des urgences locales. « Nos paramédicaux craquent », affirme-t-il. Il n’est pas rare de croiser des personnels en pleurs dans les couloirs, puisque leur avenir s’inscrit en pointillé. Que deviendront-elles ? Rien n’est arrêté. »

Au niveau médecin, la situation est…



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